Préface

Te souviens-tu de ce jour ? Cette personne ayant demandé son chemin alors que tu manger une soupe miso dans un petit commerce avoisinant le phare du Mizukage ? Son visage fatigué et ces nombreux cernes au visage te sont ils toujours familiers ? Toujours pas ? Rappelle toi pris de pitié tu lui avais offert une soupe. Ah la mémoire te revient enfin ? Oui, c’est bien cela durant votre repas il t’avais dit qu’il était venue dans le village afin d’être embauché en tant que shinobi. Il t’avait fait part de ses rêves d’avenir, de la fierté que porté l’étendard de Kiri signifiait pour lui. Et dans un certain sens tu à étais heureux de l’avoir rencontré, d’avoir discuté. Pouvais-tu t’imaginé que quelque jour après cette rencontre tu devrais l’éliminé ? J’en doute fort mais la vie est comme ça. Je pense que tu viens de comprendre la raison de ta venue, ces pour une élimination. Simple, discret et brutal à la fois. Cette personne que tu avais aidé à trouver un chemin n’as put accomplir son rêve et maintenant il était partie terrorisé la population. Crois-tu que le Mizukage allait laisser cela ce faire sans intervenir ? Non, tu le savais au plus profond de toi et même si cela t’attristé. Tu devais intervenir…

I- Que la chasse commence !

Oh ! Douce brise qui tendrement enlace mon visage et semple l’apaiser de tous ses maux. D’où peut tu bien provenir, insaisissable et pouvant voyager sans contrainte apparent. J’étais encore dans ma chambre à préparer mes affaires pour cette matinée, enfin affaires ses sans doute un bien grand mot. Aucun shuriken, kunai ou autre armes, tout cela mettais inutile à moi juste une charge qui me ralentirais durant ma chasse. Être ninja est un symbole de mes ancêtres transmis à moi l’un des derniers descendant de notre clan, mes souvenirs sont flous  concernant ma famille. Cependant, quelque fois de petite bride remontent à la surface et me permettent de me rappeler inconscient des choses sur eux. Enfin qu’importe vous verrez sans aucun doute par vous-même l’étendu de mon pouvoir bien plus tard. Mis à part mes vêtements, un peu d’argent et mon paquet de cigarette fétiche je n’allais rien emporter avec moi. Mes yeux examinèrent une dernière fois le tableau poster dans ma chambre à coucher, ce tableau représentait mes parents et moi lorsque nous étions encore heureux…Clac… La fenêtre de ma chambre s’ouvrit et un shinobi portant un masque s’engouffra à l’intérieur de ma maison. Je ne mettais pas entièrement tourner, mais il était évident qu’un membre de la section d’information du village entrant comme sa voulais sans doute me délivrer un message du Mizukage. Ce qu’il fit bien évidemment, enfin ce n’était pas une discussion que nous avions eu. Il me donna quelque info supplémentaire sur ma mission et me renseigna sur la personne que je devais traquer.. J’avais eu vent de son nom mais ne le connaissant pas personnellement, j’espérais seulement que la raison qui l’avait poussé à attaquer tout ces civils valait la peine. Il finit rapidement son discours et partit par le même chemin qu’il était entré, silencieusement. Bien il était temps de partir aussi…

Mes pas en dehors de ma demeure furent tous aussi silencieux que ceux de la personne qui était partie un peu plus tôt. Un assasin ce doit de demeuré dans le silence afin d’être le plus efficace possible non ? Je mis une mèche de mes cheveux sombre en arrière de mon oreille et prit une cigarette, j’admirais mon paquet. Simple et basique, mais tellement mortel à la fois. Une odeur douce de menthe montait peu à peu dans mon nez, c’était une extension des cigarettes que je fumais d’habitude. De la menthol avait été insérer à l’intérieur afin que le goût soit bien plus doux et agréable. Qui avait dit que la perfection ne pouvait être améliorée ?  Instinctivement je déposais la clope entre mes lèvres et cherchais dans chacune de mes poches un briquet afin de l’allumer. Sans succès malheureusement, j’étais à cours de feu et l’envie de fumer me tenailler de plus en plus. Sa aller être une foutu journée à tous les coups. Je retirer avec un certain regret la cigarette de ma bouche et la rangea délicatement dans son paquet, quelques petites injures sifflotèrent aussi dans l’air. Pourquoi cela devait il arrivé aujourd’hui ? Être en rupture de feu et devoir tuer une récente connaissance, c’était vraiment pas mon jour. En une simple fraction de seconde je commençais ma traque, et me dirigeais vers les lieux malfamés du village à la recherche d’information.

II- Un service

Les rues me semblent tellement identique les unes au autres. Pourquoi donc ? Est-ce parce que durant longtemps j’arpentais ces même rues afin de trouver un repère ? Un lieu où j’aurais enfin pus me poser et espérer une vie ‘normal’ ? Sans doute, mais il était bien trop tard désormais, tant de chose était passé et tant de sang fut coulé par ma faute. Non un retour en arrière n’était plus possible pour moi. Une jeune fille dans l’ombre attira mon attention, belle comme la nuit et si douce. Elle ne m’avait sans doute pas remarqué, c’était une habitude pour moi d’être invisible aux yeux des gens. Un réflexe pour ma propre survie dans ce monde, dans ce village. Seul survivre était pour le moment important. Toutefois, je ne pus réfréner une légère excitation et mon pantalon ce sentit un peu plus étroit. Combien de tant je n’avais pas touché à la douceur de la gente féminine ? Plusieurs jour sans doute, à cause du nombreux changement dans le village que ce soit du à l’élection du nouveau Mizukage ou bien aux nombreuses promotions de cette nouvelle génération des 7 épéistes. Dès que cette mission fut terminée il fallait que je me fasse un peu plaisir. Une seconde ombre attira mon attention près de la femme, un gars avec une légère cicatrice que j’aurais reconnut sans aucun doute. Sa lui allait plutôt bien cette petite entaille que je lui ai faite à ce chère Kizumo. Vous ne le connaissez sans doute pas car c’est une personne qui un peu comme moi qui vit dans l’ombre. Ce n’était pas un shinobi, mais sans doute l’un des meilleurs informateurs du pays et il m’était redevable de l’avoir sauvé la vie de mainte fois. Mais les personnes comme lui n’aimé pas trop être en public avec des gens comme moi, sa comme il le dit si bien nui grandement à son image. Mes yeux continuer de le fixer, d’après ce que je pouvais voir il semblait passer un tabacs à la jeune fille. Donc il c’était mis dans la prostitution aussi ? Eh bien tant qu’il me donnait ce que je voulais, je pouvais le laisser dans ces petites magouilles. Et de toute façon je n’étais pas là pour lui faire la morale mais plutôt pour lui demandé un renseignement…

En quelques seconde je fus sur lui et l’emmena sans qu’il ne put faire quelque chose dans le coin le plus sombre de cette ruelle et d’un geste expert endormie la jeune fille. Lorsque je pris la jeune fille afin qu’elle ne ce blesse, je pus sentir un léger parfum sucré et le toucher délicat de ses seins. Ah pourquoi donc de si belle fille devait elle faire des choses aussi dégoutantes, c’était vraiment du gâchis. Sans m’attarder sur son cas, je me dirigeais vers mon chère informateur. Toujours dans une démarche silencieuse, il avait sans doute dut comprendre que c’était moi car sa réaction fut calme et posée. Le cher balafré s’assit calmement sur un petit tas de morceau de bois tout en évitant soigneusement de salir ses vêtements devant couter une petite fortune. Après avoir pris son aise, il prit une cigarette l’alluma et fuma. Avait-il lut dans mes pensées ? Je m’approchais tranquillement de lui et prit la cigarette que j’avais précédemment rangé. Le feu de son briquet alluma ma petite gâteries quotidienne mentholé en plus, et nos yeux ce fixèrent durant un cours instant. J’inspirée une longue bouffée appréciant ce moment comme une extase de la vie, puis promptement j’extirpais cette même fumée. Il dut sans doute comprendre que sa fessais un petit moment que je n’avais pas fumée car Kizumo me laissa apprécier cette cigarette durant un long moment. Lorsque j’eu fini, je pris la parole.

Byakuya -Merci mon vieux pour le feu, sa fessait un moment j’avais plus fumée et putain sa fait du bien.

Kizumo -Pas de quoi. Mais bon ce n’est pas pour sa tu ma emmené ici, donc dit moi que veux tu ?

Byakuya -Eh bien sa m’emmerde de te demander sa, mais je suis à la recherche d’un mercenaire fesant parler de lui en ce moment en tuant des villageois. Tu saurais pas où je pourrais le trouver ?

Kizumo -Ah ouai ce type. J’avoue il fout un peu la merde dans nos affaires, d’après ce que j’ai entendu il loge dans un petit garage à environ 5 pâté de maison d’ici. Il est plutôt costaud ce petit con d’après ce que j’ai compris, donc si tu dois l’affronter fait gaffe a toi.

Byakuya -Pas de problème tu me connais, merci pour le renseignement et pour le feu. Ah ofet tu me passe ton briquet ? J’ai perdu le mien

Comme si les mots étaient inutiles à une quelconque réponse, il me jeta son briquet. Ce type était vraiment un brave type au fond. A cinq paté de maison alors, bien je pouvais aller maintenant. Lorsque je sortie de la ruelle je revis la jeune fille, cette belle et douce jeune fille. Me retournant une dernière fois je dit une dernière chose au balafré.

Byakuya - Ofet ne fait pas trop de mal à celle là. J’aimerais bien la revoir plus tard, elle est mon genre.

Sur ses mots je m’en allai en espérant que mon petit informateur préféré avait compris ce que je voulais dire.

III-C'est donc toi

Ce ne fus pas difficile de trouver le garage où ma proie devait ce cacher, il était placé là comme une chose étrange dans un décor où tout concorder sauf ceci. C’était un vieux garage surement désaffecté depuis un long moment vu l’état de l’extérieur, mon regard scrutait une petite porte métallisé à l’avant. Je marchais en direction de cette porte inconsciemment, il avait peut-être tendu des pièges ou bien m’attendait il prêt à me sauter dessus. Enfin bon mes aptitude en corps à corps où plutôt en Kenjutsu était bonne, du moins nettement suffisant pour abattre un pauvre mercenaire. Etait-ce de la confiance ne sois ou bien de l’orgueil qui m’avait laissé penser cela. Peut-être un peu des deux au final qu’importait. La confiance et l’orgueil ce ressemblait par bien des aspects et l’un comme l’autre était tout à fait utile pour un ninja. Sans mon rendre compte j’étais arrivé devant la porte métallique qui étrangement semblait plus grand, enfin bon c’était sans doute dût à la fatigue qui c’était accumulé ces dernières heures. Ma main droite ce posa délicatement de la poignée, le contact fut glacé presque surprenant. Serrant légèrement je tourner la porte et fini par l’ouvrir.

Rien. Le silence et l’odeur des vêtements mouillée ce dégageaient de la pièce, le calme avant une rude tempête ? Peut-être bien qui pouvait le savoir. J’étais toujours dehors lorsque quelque gouttes commencèrent par tomber sur moi, la première ce déposa sur mon visage et d’un bout à l’autre jusqu’à atteindre mon menton pour finalement ce déposer à terre. Une averse allait sans doute débuter dans très peu de temps, et comme on dit mieux vos prévenir que guérir j’avançais tranquillement dans ce lieu appartenant à ma proie. Un petit lit, un bureau et des toilettes. C’était les seul meuble apparent enfin avec le peu de visibilité qu’il y avait cela aurait était difficile de distinguer autre chose. Je m’approchais doucement vers le bureau  et m’assit afin de voir ce que ma cible pouvait bien imaginer les longues heures qu’il passait ici. A mon grand étonnement je ne vis que deux photo. L’un ou la personne que j’avais traqué ce tenait souriant avec une jeune femme enceinte et l’autre l’image d’une petite fille au joue rose. Cela était-il sa famille ? Donc même un type comme lui avait une famille qu’il aimé. Eh bien qu’elle surprise, le tué pourrait être assez dérangeant. Malgré mon éducation par les forces ninja de Kiri, mes émotions sont toujours rester intactes et la pitié commençait peu à peu à me prendre. Je pris la chaise ainsi que les deux photos et m’assit au centre de la pièce attendant l’élément principale de tout ceci. Le temps me parut long, et je passais ce temps à imaginer cette famille heureuse en ayant des brides de souvenir. Tout à coup la porte du garage s’ouvrit non la petite porte que j’avais pris mes la grande porte, vous savez celle qui monte. J’avais toujours les photos dans mes mains et les yeux fixé dessus lorsqu’il me vit. Savait il que j’étais l’ange de la mort envoyé ici afin de le tuer ? Je n’en sais rien mais qu’importe ce que je ressentais ma mission était ma priorité. Je n’eu pas besoin de lever la tête il avait du me reconnaitre, d’une voix calme j’entendis des mots sortirent de sa bouche.

Mercenaire – C’est donc toi.

IV-Juge moi